vendredi 30 janvier 2009

Tag: j'ai rencontré une célébrité

Taguée par l'adorable ami Faucon (bon weekend à la montagne pour toi !)...

Je ne peux pas me taguer d'avoir rencontré tant de célébrités que ça dans ma petite vie. Certaines sont surtout des célébrités dans ma branche, rencontrées pendant ma vie d'étudiante, aussi vais-je les mettre quand même car certaines d'entre elles sont très connues même en dehors...

-Jean Yoyotte (égyptologue): rencontré totalement par hasard lors du premier déménagement de l'Institut d'Egyptologie de Strasbourg.
Pour la petite anecdote, Laetitia et moi, en tenue de travail, étions en train de nettoyer le meuble contenant les planches in folio de la Description de l'Egypte et surtout plus d'un siècle de poussière quand nous avons vu rentrer ce vieil homme tout voûté ressemblant de façon frappante à la momie de Ramsès II. Je l'ai signalé à Laetitia, qui m'a dit que je rêvais...jusqu'à ce que Traunecker, notre directeur de recherches et accessoirement directeur de l'institut à l'époque, vienne nous le présenter en personne...Oups ! J'aurais rêvé de me faire présenter à ce monsieur, cette légende de l'égyptologie, mais pas en vieux t-shirt et en vieux jean, le chiffon à poussière à la main.

-Nicolas Grimal (égyptologue) : rencontré à l'institut aussi, il était alors directeur de l'IFAO (institut français d'archéologie orientale). Monsieur assez accessible tout de même.

-Philippe Jeantot (navigateur): je m'étais rendue à une conférence donnée par lui à Epinal, homme très intéressant, j'ai encore son autographe d'ailleurs. (Pas de chance, il a eu quelques ennuis depuis, fraude fiscale :s )

-Dominique Gros (maire de Metz): ce n'est pas à proprement parler une célébrité, mais bon, c'est le maire de Metz, donc maintenant c'en est une. Rencontré par hasard aussi lors de l'inauguration du U4, je me trouvais à la billetterie et donnais plusieurs choses à chaque personne...et j'ai à peine vu que c'était lui ! C'est ma patronne qui l'a salué, ce qui a eu l'air de le déranger. Du coup, quand il est repassé, je suis allée m'excuser et le saluer...

-Julie Caitlin Brown (actrice): c'était un club de fans de la série Babylon 5, dont je faisais partie à l'époque, qui avait réussi à la faire venir en France moyennant un concert sur place. Elle jouait dans la série la Narn Na'Toth, l'aide de G'Kar qui disparaît à un moment et est finalement libérée de prison sur Centauri après. (je vous recommande la série Babylon 5 pour ceux qui aiment la science fiction, ferai un billet dessus tiens un jour...)
C'est une dame très gentille, très grande aussi mais très accessible...

A vue de nez je crois bien que c'est tout, sinon je rajouterai...

mardi 20 janvier 2009

Carnets de chorale n° 2: "Vladimir Illitch (Sardou), concerts 1991 et 2006

Allez, un petit deuxième carnet de chorale, en cette période où mon ancienne chorale ne va pas tarder à inaugurer la première de son nouveau spectacle, avec tout ce qui va avec : le trac pour les nouveaux et aussi certains anciens, les chorés pas assez au point, le vocal qui de temps en temps déraille imperceptiblement, la chef de choeur qui n'est pas contente. Petite pensée pour ma maman, mon beau-père et les quelques amis qui me restent là bas...

Bref, cette fois j'ai choisi la chanson "Vladimir Illitch", de Michel Sardou...




Découvrez Michel Sardou!



Cette chanson avait elle aussi fait partie de mon premier concert à la chorale d'adultes, et nous l'avions choisie pour le concert des 25 ans en 2006 (voir premier carnet de chorale). Je m'en souvenais bien même si, à 15 ans, je n'étais pas aussi capable de discerner la totalité des thèmes politiques sous les paroles. Et pourtant, la seconde fois, cette chanson avait un écho particulier à mes yeux, je n'ai jamais su pourquoi mais cet écho m'inspira une idée de chorégraphie. C'était ordinairement la chef de choeur qui les faisait mais, pour une fois que j'avais une idée sur le sujet, je l'ai couchée sur papier. Après avoir longuement hésité, repris quelques trucs, j'ai fini par l'envoyer à la chef de choeur, et plus de nouvelles pendant un bon moment, même après la reprise des répétitions à un rythme supérieur à la rentrée, fin août.

Vient le soir où le chef déclare qu'elle va nous apprendre la choré de Vladimir Illitch. Elle attribue tout d'abord les places, et je m'aperçois que je suis à côté d'elle. Bon, il en faut bien une, je ne m'en formalise pas. Voilà ensuite qu'elle annonce qu'une partie de la choré est de moi ! une soixantaine de paire d'yeux se braquent sur moi, et je suis applaudie. Gênée, ne sachant trop que dire ni que faire, je l'apprends en même temps que les autres. Quinze minutes plus tard, tout le monde me maudit car la chef n'a gardé que les mouvements les plus difficiles de ma choré d'origine. Nous continuons donc vaille que vaille, et, quelques temps après, la choré est enfin maîtrisée après force répétitions. Je suis sur les estrades, donc pas énormément de place pour bouger, mais, comme la chef ne répète jamais avec nous, j'en ai presque oublié le fait qu'elle soit à côté de moi. Lors des dernières répétitions, elle prend sa place et je m'aperçois que ça n'est pas très évident car, même si elle ne me regarde pas, rien que le fait qu'elle soit là apporte une pression supplémentaire. Pourtant, ça va à peu près, sans trop de stress, mais nous savons que le chant est situé à la fin du spectacle et que c'est délicat car, la fatigue aidant, nous risquons de faire des erreurs. De plus, psychologiquement, on a plus tendance à se relâcher à ce moment-là.

Ce samedi-là, le jour du spectacle, je suis parfaitement consciente de tout ça, et je tiens vraiment à ne pas me tromper pour au moins faire un peu honneur à mon travail d'apprentie chorégraphe du dimanche. Jusque-là, je n'ai fait aucune erreur, aucune dans tout le spectacle, mais je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, je me trompe une fois, puis deux, sur un mouvement qui n'est pas difficile en plus, alors que je me concentre sur le chant qui, tout de même, est assez engagé. En colère contre moi-même, je continue à sourire, ce sont les intructions du chef: si vous vous plantez, souriez, que ça ne se voie pas. Pourtant, quand je regarde le DVD de ce spectacle, je remarque que mon sourire s'efface quelques secondes, heureusement, personne d'autre ne l'a vu, même pas la chef, concentrée de son côté (ouf).
(Bon, il y avait le fait de m'être plantée, mais aussi le fait que j'aie perdu un pari et que j'allais devoir pondre une énorme annexe, enfin passons....(42 pages, l'annexe !!) )

Je ne sais pas trop ce qui s'est passé, relâchement, fatigue, stress, mais c'est sur une choré que j'en ai en partie créée que j'ai commis mes seules erreurs du concert 2006. Pas évident la vie de choriste...

samedi 17 janvier 2009

Mahes Rê et son nouvel amour


J'ai fait les soldes récemment et je suis tombée sur cet arbre à chat. Je craignais un peu que Mahes ne l'adopte pas mais c'est tout le contraire qui s'est déroulé. Il faut dire que je l'ai placé face à la fenêtre de la pièce à vivre, au dessus du radiateur, tout ce qu'il faut pour qu'il puisse regarder dehors et claquer de la mâchoire parce qu'il ne peut pas attraper les oiseaux.

jeudi 15 janvier 2009

Baisse des prix ? Mouais...

La TV (les infos de France 3, pour ne pas les nommer) vient de m'annoncer avec force insistance la baisse des prix...mais en précisant bien que les gens ne le voient pas (ou pas encore selon l'invité). Bon, soit disant les prix ont baissé, comme les prix du gaz, mais à dire vrai la chômeuse que je suis (pour plus trop longtemps j'espère) à son niveau a l'impression de payer toujours autant, sinon plus (surtout au niveau du gaz), que ce soit au niveau de la nourriture ou des prélévements fixes mensuels. D'après ce qu'ils disent aussi, l'avenir s'annonce difficile, mais ça on le savait déjà vu le bazar économique. Si les gens qui travaillent ne s'en sortent plus, que sera-ce pour les chômeurs (ou demandeurs d'emploi pour être politiquement correcte) ? Donc je fais comme mon ami Falconhill, je soupire, à défaut de mieux...

lundi 12 janvier 2009

Exposition: "Bonaparte et l'Egypte: feu et lumières"


Cette exposition se tient actuellement jusqu'au 29 mars à l'Institut du Monde Arabe, à Paris, et je ne voulais surtout pas la manquer. Après tout, elle présente la première édition de la Description de l'Egypte, qui date des premières années du XIXème siècle, et je suis tombée en arrêt devant, moi l'égyptologue repentie qui en a une édition récente dans sa bibliothèque. Non contente de parler de ladite expédition d'Egypte menée par Bonaparte qui n'était pas encore Napoléon I en 1798, elle parle aussi de l'égyptomanie qui s'en est suivie dans la mode et l'ameublement (ah, ce meuble monumental conçu pour recevoir les volumes de la DE, magnifique !). Elle traite également de l'histoire de l'Egypte au cours du XIXème siècle, étroitement liée avec la France, dans les soubresauts d'agonie de l'empire Ottoman, en n'oubliant pas le point de vue des égyptiens sur l'expédition puis sur l'évolution de leur propre pays dans les années qui ont suivi.
Bref, une exposition à recommander chaudement aux férus d'histoire et d'Egypte pour le nouvel éclairage qu'elle donne sur cette époque.
A voir à l'Institut du Monde Arabe, 1 rue des fossés Saint Bernard, place Mohammed V, 75236 PARIS cedex 05, métro Jussieu, Cardinal-Lemoine ou Sully Morland.
Si vous avez envie d'en savoir plus faites-le moi savoir par commentaire...

vendredi 9 janvier 2009

Mahes Rê, deuxième !

J'ai réussi à choper Mahes Rê alors qu'il se réveillait après s'être livré à son sport favori, autrement dire dormir sur mon lit après avoir joué comme un cinglé avec sa souris (à côté de lui sur la photo). Il va avoir six mois le 17 et il n'y a pas plus superglue que lui. Il a déjà bien grandi depuis que je l'ai, ce sera bientôt un grand garçon. Il a plutôt bien supporté les voyages en train, avec une préférence pour le TGV par rapport au TER, mais il a l'air plutôt content d'être rentré.




jeudi 8 janvier 2009

Neige et glace

Je voyais ce midi aux infos des images d'apocalypse dans le sud bloqué par la neige, ces voitures dans le ravin, Marseille bloquée. Je suis d'une région habituée à la neige et au gel, mais quand même, qu'on laisse les choses dégénérer à ce point me laisse pantoise. J'ai pu en avoir un bon aperçu lors de mon séjour herblaisien, où j'ai failli me casser la figure plus d'une fois malgré mon expérience de la marche sur neige gelée parce que les trottoirs n'étaient pas dégagés ni salés, chose totalement inconcevable par ici. De plus, est-ce vraiment nécessaire de tout bloquer alors qu'un coup de chasse-neige suffirait pour dégager quelque peu ? C'est la question que posait un automobiliste immobilisé, et dont la vosgienne que je suis se fait l'écho. Il est vrai que, lorsque j'étais étudiante à Strasbourg, dès qu'il y avait 2 cm de neige tout s'arrêtait, transport en commun et tout.
C'est vrai qu'on en avait presque oublié ce que c'était qu'un véritable hiver depuis quelques années, ceux de quand j'étais petite avec les 40 cm de neige, la glace et les -10 °c, le retour de bâton est violent. Je veux bien concevoir que les DDE du sud de la France ne sachent pas réagir comme il le faudrait face à ces chutes de neiges, et qu'ils soient débordés, et j'ai une bonne pensée pour certains amis qui habitent par là-bas et pour lesquels ça ne doit pas être facile, mais si on leur donnait un peu plus de moyens et de quoi prévoir ça se passerait peut-être mieux, non ? Mais il ne faut cependant pas tomber dans l'assistanat, à chacun de faire sa frayée devant sa porte (faire la frayée = pelleter la neige, expression vosgienne), parce que c'est obligatoire, déjà, mais aussi parce que comme ça, si tout le monde s'y met, les services de la mairie iront plus vite à tout dégager.

lundi 5 janvier 2009

fin de fêtes blues



Une belle photo d'Herblay sous la neige pour commencer ce petit billet un peu blues. Je suis encore à Herblay pour deux jours, je profite de chaque moment passé ici avant de retrouver mon quotidien messin. J'ai passé ici de magnifiques moments en compagnie de mes amis, que j'ai pu immortaliser cette année avec mon nouvel appareil photo, et ai eu un anniversaire inoubliable à Versailles. Mais les meilleures choses ont une fin, et la réalité commence à se faire de nouveau jour : les courses, les diverses corvées du quotidien quelque peu oubliées ici reviennent à mon esprit. Demain, une dernière virée parisienne pour faire quelques courses, puis mercredi ce sera le retour en TGV avec le chat et le sac lesté des magnifiques cadeaux offerts par mes amis: deux Myth Cloths Saint Seiya (les chevaliers du Zodiaque en VF), superbes figurines, et une maquette du Gundam Freedom offerte par mon ami Patrick...le tout tenant une place certaine ! Heureusement que j'avais pris un second sac pour apporter les cadeaux destinés à mes amis, il sera rempli tout autant au retour *soupir*. C'est toujours comme ça quand je rentre de Paris...

En plus, j'ai toujours le blues après les fêtes, ça n'arrange rien. Enfin ça ira mieux quand je rentrerai à Metz, du moins espérons-le, il faudra recommencer le ballet lettres de motivation-CVs-annonces. Pas drôle, mais pas le choix non plus...

samedi 3 janvier 2009

Bonne année à tous !

Avec un peu de retard dû aux multiples obligations post nouvel an, je voudrais vous souhaiter à tous une excellente année 2009. Qu'elle vous apporte tout ce que vous pourriez souhaiter dans tous les domaines !